On considère que tout design conçu pour interagir avec un appareil numérique appartient au domaine du « design numérique ». Considérant le grand nombre d’appareils digitaux que nous utilisons au quotidien, comment encadrer plus précisément la définition du design numérique ?

Design numérique : une définition

Le design numérique s’apparente à une forme de communication visuelle qui présente des informations, des produits ou des services via une plateforme digitale. Plus concrètement, c’est un design graphique visuel conçu spécialement pour être vu ou utilisé sur un ordinateur.

La conception d’un visuel ou d’un document en design numérique tient donc compte de plusieurs facteurs, essentiels pour l’utilisateur des appareils : l’expérience utilisateur, l'interactivité, adaptabilité aux diverses tailles d’écrans de visualisation, etc.

Le but du design numérique, c’est donc de créer un visuel qui a vocation à être utilisé, et non simplement vu et lu.

On l’oppose souvent au design graphique, bien que les deux disciplines soient véritablement liées. On attend en effet des designers professionnels qui maîtrisent aussi bien le design graphique que le design numérique.

Design numérique et développement informatique : les liens

Si le design graphique a pour vocation d’être imprimé, le design numérique a pour support exclusif les appareils digitaux. Ainsi, les graphistes experts du design numérique livrent leur projet au client commanditaire sous la forme d’une maquette hors ligne (un PDF ou un document Photoshop). S’il est validé, ils transmettront leurs indications aux équipes de développeurs, qui traduiront la maquette en langage informatique pour en faire un produit digital fonctionnel, comme une newsletter.

Naturellement, il est tout à fait possible de rencontrer des graphistes spécialistes du design numérique qui offrent un service de développement. Cela dépend de leur modalité de travail et de la taille de l’agence où ils sont employés.

Design numérique : typologies

Le design numérique varie donc en fonction de l’outil digital de visualisation et de l’expérience utilisateur. On peut considérer qu’il existe :

• Le design de site web. Aujourd’hui, l’importance d’une bonne vitrine digitale est bien comprise pour les professionnels, qui apportent beaucoup de soin à la conception esthétique de leur site.

•  Le design de landing pages (ou pages de destination) sont axées sur les stratégies marketing. Elles sont consacrées à un produit spécifique et comprennent souvent des éléments très motivants pour les acheteurs.

• Le design d’application mobile. Il diffère légèrement du design de site web en ce que les applications sont des produits digitaux conçus pour exercer une fonction spécifique.

•  Le design d’icônes d’application. Il s’agit des boutons de navigation présents sur les applications ou les sites web. Ces icônes sont informatives ou publicitaires.

• Le design d’infographie, qui permettent de présenter de manière ludique et attrayante des informations brutes.
• Le design de mails, comme les newsletters ou les messages promotionnels. Ils doivent reprendre la charte graphique de l’entreprise et présenter un style agréable.

• Le design de bannière publicitaire, qui sont conçues pour augmenter la visibilité et les ventes d’une entreprise.

À l’EFET Studio Créa, les étudiants apprennent tout du design numérique et sont capables, à l’issue de leur cursus, d'exercer comme designer spécialisé.

Le design numérique ne cesse d'évoluer, la dernière branche à être née est le design de réseaux sociaux, dont le succès est fulgurant.

S'il est impossible de dresser un résumé bref et essentiel de l'Histoire de l'art, nous pouvons nous efforcer d'en dresser le portrait général. Alors, qu'est-ce que l'Histoire de l'art, quelle est l'approche de la discipline sur les mouvements historiques et les productions créatives et pourquoi est-ce important de bénéficier de cet enseignement ?

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L'Histoire de l'art : une approche scientifique unique

L'Histoire de l'art est une discipline hybride, qui a pour objet d'étude les œuvres d'art, leur sens et leurs conditions de création. De ce fait, il s'agit d'une approche transversale, qui considère l'iconographie au même titre que le développement social et culturel, les grands courants historiques, les innovations spirituelles, relieuses et d'autres considérations anthropologiques, idéologiques et politiques.

Les objets d'étude de l'Histoire de l'art sont donc :

• La création artistique : le processus de création en lui-même et les productions qui en découlent : narration, fiction, théâtre, sculpture, tableau, etc. Cet objet d'étude comprend la création théorique et la production pratique : étude des diverses techniques selon les époques, des matériaux, etc.

• L'étude de l'objet : l'œuvre en elle-même, sa technique de création, les matières utilisées (leur provenance, le contexte économique pour y accéder, etc.).

•  L'individu : l'artiste ou le créateur qui travaille de manière autonome ou sous commande. Par là même, l'Histoire de l'art s'intéresse aux spectateurs : l'impact d'une œuvre sur ses contemporains, par exemple.

Attention, l'Histoire de l'art est encore trop souvent confondue avec l'Histoire des arts, qui consiste en un enseignement artistique et culturel principalement divulgué à l'école élémentaire, au collège et au lycée.

Pourquoi étudier l'Histoire de l'art ?

Étudier l'Histoire de l'art permet de bien comprendre les œuvres qui nous entourent : les productions historiques, iconiques et même les créations d'aujourd'hui. En fournissant au spectateur des clés de lecture des œuvres, l'Histoire de l'art permet leur meilleure compréhension et, pour les pratiquants, offre une source d'inspiration colossale.

De manière généraliste, survoler l'essentiel de l'Histoire de l'art, c'est une excellente manière de garder l'esprit ouvert et de prendre plaisir au contact des œuvres. Cela permet aussi de mieux se confronter à l'art contemporain, parfois nébuleux et difficile d'accès pour le grand public. Sur ce point, l'Histoire de l'art a contribué, pour beaucoup de non-initiés, aux arts appliqués, à mieux comprendre « l'utilité » de l'art. En ce sens, de nombreux spectateurs ont mieux compris le fondement des actuels arts graphiques et numériques et l'on peut dire que l'Histoire de l'art a permis de faire de la communication visuelle un art appliqué à part entière.

Pour les étudiants en écoles d'arts appliqués, de design d'art graphiques, et même d'architecture bénéficient tous d'un apport théorique en Histoire de l'art. Grâce à cette discipline culturelle, humaine et technique, ils appréhendent les grands courants artistiques de l'Histoire. Ils savent les reconnaître, les expliciter, mais également en dégager les caractéristiques dominantes. De ces éléments de reconnaissance, ils peuvent tirer une inspiration importante dans leurs propres productions et s'en affranchissent par la suite pour trouver leur propre style. L'Histoire de l'art, en tant que discipline d'étude, permet de considérablement stimuler leur créativité.

L'EFET Studio Créa a conscience de l'importance de l'Histoire de l'art pour la constitution d'une culture générale solide et d'un socle de compétences opérationnelles dans le domaine des arts graphiques, numérique et du design. Les étudiants de l'établissement bénéficient à ce titre d'apports dans la discipline, qu'ils choisissent d'étudier la Photographie, le Design Graphique et Numérique ou le Design et l'Architecture d'Intérieur.

L'Histoire de l'art permet de décrypter les grands mouvements historiques, les divers points de vue d'une société sur les œuvres qu'elle a produites et offre de déceler de nouvelles possibilités dans les arts appliqués.

Il est celui qui traite de tout ce qui concerne le parcours d’une visite d’exposition. Médiateur des relations avec le public, expert de la conception d’un musée et de l’aménagement des espaces d’exposition, qui est le muséographe et comment se former au métier ?

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Les principales missions du métier de muséographe

Le muséographe est chargé de présenter une exposition de manière cohérente, attractive et ludique. Pour y parvenir, il coordonne les actions d'équipes transdisciplinaires et élabore un parcours de découverte en lien avec l’espace d’exposition, la thématique ou la ligne éditoriale d’un musée.

Il peut être amené à rechercher les œuvres en lien avec le thème de son exposition et sélectionne les éléments à présenter en fonction de critères qu’il établit lui-même : local, coût du transport, forme, couleur, texture, etc. En contribuant à déterminer, avec la direction du musée, l'objectif de l’exposition, il définit une audience principale.

En fonction du public attendu, il élaborera un plan technique qui comporte :

•  Des indications de scénographie : position des éléments exposés, occupation de l'espace, parcours d'exposition, ajout de lumière, etc.
•  Des indications et de décoration et d’équipement de l’espace : présence de projections numériques, outils digitaux et interactions avec le public.

Ainsi, la mission principale du muséographe est de mettre en cohérence en espace avec un thème artistique. Il interroge la place des œuvres dans l’espace d’exposition et est chargé de créer des liens entre ce qui est exposé et le public. Il maîtrise donc la décoration, l'architecture, le design, le sound design et utilise ces méthodes en vue de créer un impact auprès des visiteurs et d’adapter l’exposition à tous les âges.

Le métier de muséographe à l’aune du digital

De nos jours, le métier de muséographe utilise considérablement les outils du digital en vue de modéliser ses propositions et d’intégrer le numérique aux espaces d’exposition. Les muséographes en devenir doivent impérativement prendre en considération l’essor, les enjeux, les contraintes et les potentialités du digital et s’y former professionnellement pour réussir à faire carrière.

C’est pour cette raison que les muséographes contemporains suivent des formations en Design et Architecture d’Intérieur auprès d’établissements spécialisés design et en création numérique et graphique. Un bon programme de formation doit à ce titre mettre en cohérence des apports théoriques en architecture d’intérieur, design d'espace et les outils du numérique, tout en offrant de multiples modalités d'entraînement pratique.

Par exemple, les muséographes ont appris la conception de projets et savent développer une scénographie unique et attrayante en cohérence avec le thème de l’exposition ou du musée. Dans le cadre de leur métier, ils savent présenter leur projet via l’outil numérique (maquette 3D, plans digitaux, etc) et même intégrer au parcours d’exposition des éléments ludiques : bornes tactiles, hologrammes de présentation, vidéos explicatives, etc.

L’EFET Studio Créa propose, grâce à son Mastère Design et Architecture d’Intérieur, d’apprendre le métier de muséographe grâce à une pédagogie innovante basée sur l’alternance et les projets professionnels.

Si le muséographe exerce principalement son métier dans les musées et espaces d’expositions, son profil est de plus en plus recherché par les entreprises privées qui mettent sur pied des événements promotionnels. Il peut donc exercer dans une agence de design d’espace et bénéficier d’une rémunération très attractive.

Le Design Graphique et Numérique est une discipline des arts appliqués qui se développe considérablement en raison de ses nombreux secteurs d’application : sites web, communication visuelle, jeux vidéo et même design de produit. La concurrence pour y faire carrière peut être rude, dans ce contexte pourquoi suivre un Mastère spécialisé est un incontournable afin de trouver un emploi dans le domaine ?

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Le Mastère Design Graphique et Numérique : un titre d’études supérieures

Valider un Mastère Design Graphique et Numérique, c’est acquérir un titre d’études de niveau supérieur, reconnu par l’État ainsi que par les recruteurs du secteur. Il s’agit pour les détenteurs de faire valoir leurs compétences professionnelles dans le domaine.

Les cursus de type Mastère proposés par les écoles spécialisées en design se caractérisent par leur dimension pratique. L’objectif principal du diplôme est de former à l’apprentissage d’un métier. Ce sont donc des formations à dominante technique, qui proposent un enseignement théorique et de multiples modalités de mise en pratique. Les étudiants d’un bon Mastère Design Graphique et Numérique peuvent donc profiter d’une pédagogie de haut niveau académique et être invités à participer à des projets professionnels, des workshops ou, mieux, bénéficier d’un apprentissage en alternance.

Pour s’assurer de suivre un Mastère Design Graphique et Numérique qui dispose de tous les modules d’apprentissages nécessaires pour se construire une solide spécialisation professionnelle dans le domaine, il faut vérifier le contenu du programme. Le cursus doit impérativement proposer une vision globale et technique du design graphique : maîtrise des outils logiciels dernière génération, des fondamentaux de la communication visuelle, des contraintes de l’Internet et du digital ou encore les bases de la programmation et du développement web.

À ce titre, il est conseillé de privilégier un Mastère Design Graphique et Numérique dont le programme comprend des disciplines spécifiques :

• Stratégie de communication, méthodologie de l’UX et principes de la communication print.
• Conception de projet : identité visuelle, packaging ou encore motion design et merchandising multisensoriel.
• Techniques du développement web, bases de l’HTML ou de Javascript, montage vidéo et même data vision pour les Mastères Design Graphique et Numérique les plus poussés.

En quoi un Mastère Design Graphique et Numérique permet de trouver un emploi dans le secteur ?

La dimension technique d’un Mastère Design Graphique et Numérique est un atout important dans l’obtention d’un emploi dans le domaine. En effet, les étudiants sortants de ces formations présentent un profil très technique et bénéficient déjà d’une expérience professionnelle à l’issue de leurs études.

Les bons Mastères Design Graphique et Numérique proposent en effet un apprentissage en alternance, ce qui offre de convertir les apprentissages du programme en véritables compétences opérationnelles et de se forger un regard pratique sur sa future profession. Les étudiants détenteurs du diplôme sont recherchés par les recruteurs du secteur en raison de leur vision réaliste du domaine : compréhension des contraintes techniques et budgétaires d’un projet, veille du secteur et connaissance technologique, savoir-être professionnel, manipulation de l’anglais, etc.

Le Mastère Design Graphique et Numérique de l’EFET Studio Créa propose à ce titre un programme premium très complet développé en deux ans et selon le rythme de l’alternance.

Le Design Graphique et Numérique est un domaine complémentaire, entre art, technique et nouvelles technologies. Aborder professionnellement le secteur requiert d’obtenir impérativement un titre d’études, comme un Mastère Design Graphique et Numérique.

Le développeur a pour mission principale d’assurer le bon fonctionnement technique d’un site web. Il intervient sur les éléments qui composent une plateforme online qui ne sont pas visibles par l’internaute (contrairement au développeur front-end qui gère la partie visible d’un site). En quoi consiste ce métier et comment s’y former ?

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En quoi consistent les missions principales du développeur back-end ?

Le développeur back-end doit donc concevoir les éléments techniques nécessaires au fonctionnement d’une plateforme internet ou d’une application mobile. C’est un expert des langages informatiques de programmation (dont Pyhton ou Java sont les plus connus) qui maîtrise les techniques de la gestion des bases de données (à ce titre, il connaît très bien les systèmes SQL).

Responsable du bon fonctionnement de son produit, il doit également en suivre les évolutions et veiller à son amélioration constante. Il travaillera alors à optimiser régulièrement l’infrastructure de sa plateforme afin de la rendre très fluide en tenant compte des retours des utilisateurs. Il sait donc travailler selon les méthodes de l’UX design et peut assurer une mission de dépannage, le cas échéant.

Le développeur back-end a-t-il des missions de conception ?

En somme, pour assurer ses missions, le développeur back-end doit pouvoir prendre en charge la programmation, le paramétrage, le contrôle qualité et la documentation technique de son produit.

Selon la structure pour laquelle il travaille et ses années d’expérience, le développeur back-end n’est pas toujours qu’un simple exécutant. S’il peut assurer des activités basiques de codeur, il peut régulièrement lui arriver d’être un véritable décideur de son projet.

En effet, ses connaissances techniques en informatique font de lui un conseiller avisé, capable d’évaluer la faisabilité d’un projet ou de l’orienter afin qu’il réponde mieux aux besoins du marché. Il doit donc savoir utiliser les méthodes de la conception de sites web selon le design thinking ou le design studio, qui sont les techniques les plus utilisées dans le milieu de la conception numérique.

Comment se former aux missions du développeur back-end ?

Pour réussir à relever les missions du développeur back-end, il faut bien évidemment se former à la maîtrise des langages de programmation informatique, mais pas que. On voit de très nombreux professionnels opter pour des cursus en design graphique et numérique, qui comprennent des modules d’apprentissage du développement web. Forts de ce parcours, ils maîtrisent la méthode réflexive du Design, qui est un avantage important pour être en mesure de faire des propositions innovantes et attirer les recruteurs du secteur. Ils bénéficient en effet d’un apport en design thinking et UX design qui s’avère capital dans leurs missions de conception et d’optimisation structurelle de leurs plateformes web.

Par exemple, on peut compléter son cursus en informatique d’un Bachelor en Design Graphique et Numérique ou choisir de suivre une formation complète au sein d’un établissement spécialisé, à l’instar de l’EFET Studio Créa.

Un développeur back-end, après cinq à six années d’expérience, peut obtenir une rétribution allant jusqu’à 65 000 euros annuels bruts.

Opter pour des études dans la filière du design graphique et numérique est un choix très judicieux. Le secteur, très dynamique et innovant, embauche massivement. Pour parvenir à trouver un emploi dans le domaine, il faut néanmoins suivre une formation technique et professionnalisante. Dans ce contexte, il est possible de suivre un Bachelor Design Graphique et Numérique et de bénéficier d’un cursus immédiatement spécialisé dans la discipline.

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Suivre un Bachelor Design Graphique et Numérique : s’orienter au plus tôt

L’avantage majeur du Bachelor Design graphique et Numérique, c’est qu’il s’agit d’un cycle d’apprentissage spécialisé dans le secteur. À ce titre, ces cursus bénéficient d’un très haut niveau d’apprentissage, surtout s’ils sont pris en charge par une école spécialisée et reconnue.

Avec un Bachelor Design Graphique et Numérique, les étudiants disposent de trois années complémentaires en vue de découvrir et d’approfondir les principales matières du secteur. Ils suivent des modules comme la communication visuelle, en découvrant et maîtrisant les principes de la mise en page, du design de produit ou de la typographie. Selon les programmes, ils peuvent également profiter d’une sensibilisation graphique et artistique et étudier l’Histoire de l’art, développer une culture du design et suivre des sessions de dessin classique avec des modèles vivants.

Les enseignements proposés au programme d’un bon Bachelor Design Graphique et Numérique doivent sans cesse être mis en cohérence avec des modalités pratiques d'entraînement. Le design numérique est une discipline des arts appliqués, il est donc crucial que les étudiants apprennent véritablement à utiliser les outils du secteur. Le Bachelor doit par ailleurs permettre de parfaitement manier et de maîtriser les outils logiciels comme InDesign, Photoshop et Illustrator, ainsi que les nouvelles propositions sur le marché de la PAO.

Ce qui est important, c’est la pré-spécialisation offerte par un cursus de type Bachelor. Les recruteurs du secteur apprécient en effet les profils qui font preuve d’un haut niveau de compétence et d’un minimum d’expertise à l’issue de leurs études. En suivant un enseignement spécialisé selon la modalité de l’alternance, il est alors possible de trouver un emploi dès l’obtention de son diplôme.

Le Bachelor Design Graphique et Numérique : la clé de l’emploi ?

Ainsi, les étudiants qui se lancent dans la vie active dès l’obtention de leur Bachelor Design Graphique et Numérique ne sont pas rares. Ils peuvent en effet intégrer très rapidement des emplois comme designer graphique, illustrateur, web designer ou UX Designer.

Pour y parvenir, il faut néanmoins que le cursus présente des caractéristiques spécifiques :

• Un haut niveau d’apprentissage académique et un titre à la fois reconnu par l’État et par les professionnels du secteur.
• Une pédagogie pratique, innovante et actualisée : stages en alternance, workshops, présence d’enseignants experts de leur discipline, séminaires professionnels, etc.
• Un programme complet articulé autour des principaux pôles du design graphique et numérique qui suit une progression croissante en difficulté.

Le Bachelor Design Graphique et Numérique de l’EFET STUDIO CRÉA a regroupe toutes ces caractéristiques tout en offrant aux étudiants un accompagnement pédagogique et administratif premium.

En optant pour un Bachelor Design Graphique et Numérique au sein d’une école prestigieuse spécialisée, les étudiants bénéficient alors d’un bagage complet dans le but de faire carrière dans le secteur. Naturellement, pour ceux qui le souhaitent, le Bachelor constitue un premier palier donnant accès aux cycles de spécialisation comme les Mastères.

Le design studio est une approche nouvelle qui fait partie des méthodes Agile UX. Elle se base sur la répétition de phases d’itérations permettant à une équipe la plus éclectique possible de produire des croquis afin de répondre de manière complètement innovante à une problématique.

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Le design studio : réfléchir en équipe, illustrer collectivement

Le design studio est une méthode de travail réflexive basée sur la collaboration des membres d’une équipe pluridisciplinaire et qui vise à produire un maximum de sketches (de croquis) afin de résoudre un problème. C’est une technique de travail performante, qui permet de trouver très rapidement une solution à un problème en se basant sur la méthodologie du design et en adoptant une dynamique collaborative.

Le principe est de faire intervenir un maximum de personnes (développeurs, testeurs, responsables marketing, etc.) en un minimum de temps (4 heures généralement).

Basée à la fois sur l’UX Design le Design Thinking et les méthodes Agile, le design studio peut être divisé en quatre temps forts :

•  L’ouverture : l’équipe découvre le contexte, le problème à résoudre ou encore le produit et les personas marketing.

• Temps 1 d'itération : chacun produit un croquis individuel en moins de 10 minutes. Puis chaque membre le présente en mettant en avant ses solutions et écoute les retours critiques et constructifs des autres.

• Temps 2 d’itération : sur la base des options retenues au temps 1, les membres des équipes s’adonnent au même exercice.

• Dernier temps d’itération : la construction retenue comme la meilleure est collectivement construite.

Cette approche basée sur la collaboration offre de multiples avantages :

• Les solutions envisagées sont très diverses et une session de design studio ouvre beaucoup plus de perspectives que les méthodes classiques.

•  Le design studio met en place une culture de l'entreprise positive, où chaque collaborateur est pris en considération et où les processus de travail sont horizontaux et dynamiques.
•  Elle permet de concevoir des interfaces et des produits web au même titre que des packagings : elle s’adapte à tous les besoins.

Le design studio, est-ce que ça s’apprend ?

Naturellement, les responsables en design sont formés aux techniques de management et de résolution de problème. Ils maîtrisent donc l’UX design, le design thinking et le design studio. Ils peuvent ainsi animer une session de recherche.

Il en va de même des ingénieurs designers, qui suivent des formations de haut niveau dans la discipline. Rappelons que le design est d’abord et avant tout une méthode de résolution de problème et de conception basée sur les attentes des utilisateurs. Elle s’applique dont à tous les secteurs d'activité et consiste en le fondement même des études spécialisées.

Ainsi l’EFET Studio Créa propose des cursus spécialisés en design (graphique, numérique, d’espace, de produit, etc.) qui bénéficient d’un apprentissage très actualisé et animé par les professionnels du secteur. Les étudiants sont donc amenés à participer à des projets pratiques qui se déroulent comme en milieu professionnel et sont guidés par leurs enseignants à travailler selon les principes du design studio ou du design thinking. Ils peuvent également participer à une session à l’occasion des multiples stages en alternance proposés par l’établissement.

Les bienfaits de la méthode du design studio sont multiples. Horizontale et basée sur la réflexion collective, elle est parfaitement adaptée aux manières de penser et de travailler des jeunes générations.

Le métier d’architecte d'intérieur est très riche et varié : il permet de jongler entre le dessin traditionnel, la mise en perspective et l’outil digital. Avec l’essor de l’architecture digitale et de la réalité augmentée, il trouve un second souffle : quel diplôme faut-il obtenir pour exercer le métier ?

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Existe-t-il un diplôme pour exercer comme architecte d’intérieur ?

Il n’existe pas actuellement de diplôme unique pour ensuite pouvoir exercer comme architecte d’intérieur. Les professionnels sont libres du choix de leur cursus universitaire. Naturellement, ils doivent veiller à développer les compétences propices et nécessaires à exercer en tant qu’expert de la décoration, de l'aménagement et du design d’espace.

La majorité des architectes d’intérieur qui font carrière dans le métier ont donc suivi un parcours post-bac spécialisé en cinq ans. Ces cursus sont généralement proposés par les écoles spécialisées en Architecture et Design et comprennent des Bachelors et des Mastères très techniques et de haut niveau académique.

Ce qui est important, c’est de développer une solide base de connaissances en dessin technique, rendu de la perspective et des volumes, mise en maquette et même gestion de l’outil digital et du DAO.

Quel niveau pour un diplôme d'architecte d'intérieur ?

Si les Bachelors d’Architecture d’Intérieur permettent de se constituer un solide socle de compétences, ils restent insuffisants pour travailler comme architecte d'intérieur. En effet, la discipliner requiert de s’entraîner en pratique pendant au moins cinq ans et de développer d’autres compétences techniques, comme la gestion d'entreprise, la maîtrise du digital ou la conception de projets.

Il est également important d'approfondir ses acquis en bénéficiant d’un apprentissage très concret et d’une multitude d’opportunités d’entraînement. C’est pour cette raison que les architectes d’intérieur plébiscitent les parcours d’études en alternance jusqu’à bac +5.

En effet, il semble impossible de devenir architecte d'intérieur sans justifier d’un titre validant cinq années d’études techniques après le baccalauréat et plusieurs stages en immersion.

Architecte d’intérieur : avoir un diplôme reconnu

Ainsi, ce qui est primordial pour devenir architecte d’intérieur c’est de bénéficier d’un diplôme validé par l’État et les professionnels du secteur. Le CFAI reconnaît à ce titre certaines rares formations proposées par les meilleurs établissements spécialisés en Design et Architecture.

Cette reconnaissance est cruciale pour démontrer aux recruteurs du secteur son niveau de compétence, mais également afin de pouvoir travailler à l'étranger. Pour y parvenir, sachez qu’il faut impérativement que votre diplôme en architecture d'intérieur permette de cumuler des crédits ECTS, qui consistent en un système européen de valorisation des titres d’études.

Il faut aussi que le CFAI ait reconnu et validé le diplôme de formation. Le Conseil Français des Architectes d’Intérieur travaille en partenariat avec quelques écoles spécialisées, dont il reconnaît la pédagogie et les titres divulgués. C’est quasiment devenu un incontournable pour obtenir un diplôme qui aura de la valeur aux yeux des professionnels dans le milieu.

Cette reconnaissance a été attribuée au Mastère Architecture d’Intérieur de l’école EFFET STUDIO CRÉA pour son campus parisien, qui propose des cursus complets et spécialisés qui se déroulent selon la modalité de l’alternance.

Un architecte d’intérieur qui a obtenu un bon diplôme peut travailler en tant qu'indépendant, au sein d’un cabinet ou d’une agence spécialisée ou auprès des institutions publiques.