This is my archive

Frank Gehry : un architecte légendaire

Frank Owen Gehry, grande figure de l’architecture déconstructiviste et post structuraliste, conçoit depuis plus de 60 ans des édifices plus spectaculaires les uns que les autres. De la Tour New York jusqu’à la Fondation Louis-Vuitton à Paris, en passant par le Musée Guggenhein à Bilbao, l’architecte a su laisser son empreinte à travers le monde. À 94 ans, il inspire encore un grand nombre de designers. Voici le portrait d’un constructeur qui a créé un réel empire architectural. 

 

 

 © Unsplash

Un parcours professionnel impressionnant 

Frank Owen Goldberg (nom de naissance) est né en 1929 à Toronto. En 1949, il intègre une formation d’architecture à l’Université de Californie du Sud à Los Angeles. Ce dernier en ressort diplômé en 1954 à l’âge de 25 ans. Cette même année, il change son nom de famille pour celui de Gehry.  

 

Il travaille dans quelques cabinets d’architectes comme celui de Pereira and Luckman Associates ou encore le Victor Gruen Associates. Suite à cela, il poursuit sa formation à la Harvard Graduate School of Design, où il étudie l’urbanisme. Au début des années 60, il s’installe à Paris pour travailler auprès d’André Rémondet. En 1962, Gehry ouvre son agence?: la Frank O. Gehry Associates Inc. A Los Angeles.  

 

Les années suivantes, il entreprend l’exposition Art Treasure of Japan à Los Angeles puis le projet Studio– logement Davis à Malibu ou encore la conception de la série de meubles en carton Easy Edges. En 1978, il décide de rénover sa propre habitation à Santa Monica, en jouant sur les différents matériaux, il en fait une maison très originale. Dans la même idée que la série Easy Edges, il se lance dans la conception dExpérimental Edges  

 

Les années suivantes, il obtiendra le poste de professeur titulaire à l’Université de Yale et d’Harvard. En 1986, le Walker Art Center de Minneapolis inaugure l’exposition « The Arquitecture of Frank Gehry ». Celle-ci va marquer le début de sa renommée internationale.  

 

Gehry reçoit le prix Pritzker en 1989. Décerné par la fondation Hyatt, ce prix est considéré comme l’un des plus convoités dans le monde de l’architecture. 

 

Durant les années 90, l’architecte se lance dans la construction de bâtiments emblématiques en Europe : le Musée Guggenheim à Bilbao ou encore la Maison Dansante à Prague.  

 

Coté exposition, le Centre Georges Pompidou en organise une, en 1991 intitulée Frank O. Gehry, tout comme le Vitra Design Museum d’Allemagne, trois années plus tard.  

 

En 2000 Gehry se voit décerner la Médaille d’Or du Royal Institute of British architects. En 2003, il inaugure le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles. 

 

Le réalisateur américain Sydney Pollack décide de lui rendre hommage avec son documentaire « Esquisses de Frank Gehry » en 2006 

 

Durant les années 2010 et jusqu’à aujourd’hui, Gehry a dirigé la construction de nombreux bâtiments principalement aux Etats-Unis et en Europe.  

 

Intéressons-nous à quelques-unes de ces constructions les plus célèbres, celles qui ont fait sa renommée internationale.  

 

 

Quelques grandes créations du brillant architecte  

 

Le Vitra Design Museum à Weil am Rhein – Allemagne  

 

Bâtit en 1989,cette structure peut être qualifiée d’on ne peut plus déconstructiviste :  ses rampes, cubes et tours, font d’elle un musée très atypique. Le Vitra Design Museum met en avant les grands thèmes du design et de l’architecture. Le bâtiment principal du musée organise chaque année deux grandes expositions, d’autres expositions plus petites ont lieu non loin de celui-ci. Ces évènements sont la plupart du temps organisés par de célèbres architectes et designers. 

 

 

Le Musée Guggenheim à Bilbao Pays Basque Espagnol 

 

Cet édifice de 24?000 m2 a ouvert ses portes en 1997. Le bâtiment constitue à lui seul une réelle œuvre d’art, son design aux formes curvilignes et à la couleur argentée ne laisse pas ses nombreux visiteurs indifférents. Le musée s’organise en trois niveaux autour d’un Atrium central. Les constructions périphériques sont des passerelles, des ascenseurs ainsi que des tours d’escaliers. Devant le musée, se trouve la très particulière création de Louise Bourgeois : une araignée géante en bronze, marbre et acier inoxydable. La sculptrice l’a nommé « Maman », pour faire une ode à sa propre mère. 

 

 

Le Walt Disney Concert Hall à Los Angeles – Etats-Unis 

 

Cette salle de concert grandiose décrite par certains comme «?un géant de métal au service de la musique?» a ouvert ses portes en 2003.Ce bâtiment composé de courbes en acier inoxydable, est un chef d’œuvre architecturale à part entière. On y compte 4 structures différentes : l’Orcherstre Philarmonique de Los Angeles, La Los Angeles Chorale, le Los Angeles Center Opera et le Center Theatre Group. 

 

  

L’Opus Hong Kong – Hong Kong  

 

Il aura fallu attendre 2012 pour que le grand architecte construise pour la première fois en Asie. L’Opus Hong Kong est un bâtiment se situant sur une colline du Stubbs Road. Il comprend 12 unités résidentielles et des appartements avec jardin et piscines privés. Ses colonnes vitrées à l’apparence hélicoïdale s’érigent telle une tour d’acier. Frank Gehry met ici, son génie créatif au service d’habitations de luxe.  

 

 

 

Le Biomuseo– Panama  

 

Le Biomuseo (musée de la Biodiversité en français), toute première construction d’Amérique latine de Gehry, a été inauguré en 2014. Ses toits et façades multicolores préservent des expositions sur la biodiversité et l’histoire naturelle de Panama. Il s’agit d’une bâtisse aux structures complexes, certaines de ses parties ont dû être rebâtie à plusieurs reprises. D’une dimension de 4100 m2, le misée compte huit galeries sur deux niveaux, des aquariums afin d’exposer la vie marine de l’océan Pacifique, ainsi qu’un jardin botanique.  

 

 

L’architecture étant une discipline très technique, le meilleur moyen d’évoluer dans ce domaine est de suivre une formation adaptée. C’est ce que propose l’EFET STUDIO CRÉA. On y retrouve une formation de Bac à Bac +5 en Design et l’Architecture d’intérieur. Si cela vous passionne, n’hésitez pas à candidater !  

 

Quels sont les différents types de design ?

Omniprésent, transdisciplinaire, humaniste et ludique, le design peut revêtir de très nombreuses formes. Les différents types de design sont caractérisés par l’objectif des designers et les outils qu’ils utilisent pour les atteindre.

Types design

©Unsplash

Pourquoi existe-t-il plusieurs types de design ?

Le design est d’abord et avant tout une méthodologie de résolution de problèmes qui offre de créer des projets innovants en vue d’améliorer le quotidien des utilisateurs et les performances des entreprises. À ce titre, il s’adapte à toute une variété de secteurs, de l’agroalimentaire en passant par le digital.

 

Le Design place l’être humain, ses attentes et ses besoins au cœur du processus de création. Les designers connaissent donc parfaitement leur public, pour lequel ils développent une forte empathie.

 

Pluridisciplinaire, le design est omniprésent dans nos sociétés, en contribuant à la création de messages publicitaires, d’espaces rationalisés, de produits et de service. Il permet aussi de donner un sens aux identités des entreprises et de faire la lumière sur leur offre de produits et de services.

 

 

Design : les différents types

Les professionnels classent les différents types de design qui existent en fonction de leur finalité et des outils utilisés :

  • Le Design de produit, ou le design industriel. Il vise à améliorer la fonctionnalité ou les services et les articles d’une entreprise. Il améliore la cohérence d’une déclinaison ou d’une gamme de produits. Le design de produit intervient sur la forme même de l’objet, en tenant compte de contraintes et des caractéristiques comme l'usage qui en est fait de la part de l’utilisateur final.
  •  Le design de packaging, qui consiste à concevoir le volume et le décor des emballages. Le designer de packaging intervient sur la forme et le visuel de l’emballage. Il cherche à optimiser ces éléments et accorde une attention spécifique au rangement de son produit grâce à un bon packaging. Il doit conserver à l’esprit une seconde finalité, qui est de rendre le produit attrayant aux yeux du public : mentions informatives, liste des aliments, etc.
  • Le design graphique : le designer graphique crée une identité globale pour ses clients. Il élabore à ce titre une charte graphique complète, un logo et/ ou une typographie unique et originale. L’identité visuelle doit être fédératrice, informative et véhiculer les valeurs de l’entreprise.
  • Le design numérique : il s’applique à la conception d'éléments visuels qui ont pour finalité une utilisation via un appareil numérique. Il peut s’agir de mails, de sites internet ou d’applications digitales. L’objectif du design numérique est fonctionnel, le designer spécialisé s’attache à développer un produit en phase avec l’appareil de connexion et les besoins de l’internaute.
  • Le design d’espace : très utilisé dans la sphère de l’espace public, il est proche de la scénographie. Le design d’espace vise à rationaliser et optimiser l’utilisation de l'espace par les usagers et s’applique aux villes, musées, ou gares par exemple. Le designer doit être capable de comprendre la zone à agencer et de fournir des éléments visuels permettant de mieux s’y repérer : icônes de direction, panneaux informatifs, etc.

 

 

À l’EFET STUDIO CRÉA, les étudiants en design de l’établissement bénéficient d’un apprentissage en alternance. Ils peuvent donc rapidement découvrir les différents types de design afin de choisir une branche de spécialité qui leur convient véritablement.

 

Le design est une discipline polyvalente, dont la forme s’adapte à tous les secteurs de l'industrie. On peut donc aussi trouver le design de service, le design textile, le design d'environnement, etc.

Workshop Scénographie B3 DAI S2 2023

La « Stratégie et communication » est l’un des thèmes fondamentaux du programme des 3e année en Design & Architecture d’intérieur à l‘EFET STUDIO CRÉA. Afin d’approfondir leur apprentissage, les étudiants ont eu un Workshop Scénographie à la fin du second semestre.  

 

 

© Pexels

Dans un monde Kafkaïen… 

Cet atelier se base sur l’exploration scénographique du Procès de Franz KAFKA, et plus particulièrement sur la scène finale du chapitre X. Cette scène représente le point culminant de l'absurdité et de l'injustice qui ont marqué tout le récit. Josef K., jusqu'à la fin, lutte pour comprendre la nature de son accusation et tente de trouver une issue à son procès sans fin. En somme, ce final expose la tragédie et l'absurdité de la condition humaine face à un système bureaucratique injuste et impitoyable.  

 

L’objectif de ce workshop était de matérialiser cette scène par le biais d’outils scénographiques. Le projet devait être imaginé pour la scène principale du théâtre du Maillon à Strasbourg. Il s’agit d’une salle de 700 places, de dimensions 45 x 24m et avec une hauteur sous gril minimal de 13 m.  

 

Les attentes de ce projet étaient multiples : les étudiants devaient comprendre l’essence du texte, c’est-à-dire examiner avec soin personnages, lieux et symboles qui façonnent l’atmosphère unique de l’histoire. Ils devaient par la suite expérimenter la mise en scène : explorer la lumière, les matériaux, la structure spatiale du lieu, les projections… pour créer une expérience dramatique. Tout ceci les a amenés à collaborer de manière créative, sous forme d’équipes de 3 personnes. Ils ont pu partager leurs idées, se nourrir de l'expertise et des perspectives des autres pour concevoir une mise en espace complète, qui traduit de manière puissante l'essence du roman.  

 

Le rendu devait se présenter une maquette finale au 1 :100 de la scène principale du Maillon.  

 

 

 

 

Zoom sur la troisième année du Bachelor Design & Architecture d’Intérieur 

La dernière année du bachelor représente un réel tournant dans le cursus des étudiants. Débouchant sur un titre de niveau 6 reconnu par l’Etat, il leur prodigue un bagage de compétences, nonnégligeable.  

 

Le programme des étudiants s’articule autour de deux grands thèmes :  

  • « Conception de projet », qui enseigne toutes les bases fondamentales du design et de l’architecture d’intérieur.  

  • « Stratégie et communication » qui se concentre plus l’exposition et la communication de leurs travaux et sur d’autres disciplines indispensables (anglais, culture architecturale, histoire de l’art…).  

Les cours magistraux constituent une partie conséquente du programme des B3 DAI, mais ce qui vient les agrémenter, ce sont les workshops, qui prennent place tout au long de l’année. Basés sur une thématique bien définie, ces derniers challengent les étudiants sur leurs compétences et leurs capacités. Ils y apprennent à travailler en groupe, à être innovants et créatifs et surtout à respecter les délais imposés. Les contraintes mises en avant dans ces ateliers confrontent les étudiants à ce qui les attend une fois le diplôme en poche. 

 

Les stages obligatoires sont, quant à eux, l’occasion d’acquérir toutes les connaissances techniques relatives au secteur du design et de l’architecture d’intérieur. Ils permettent aux étudiants de découvrir le monde du travail. Les stages se déroulent en été, il s’agit du meilleur moyen pour eux de ne pas oublier, mais aussi d’approfondir les notions acquises tout au long de l’année.  

 

 

L’EFET STUDIO CRÉA offre les meilleures conditions de travail à ses étudiants afin de faire d’eux les experts de demain. Les formations de qualité suivies au sein de l’école facilitent grandement leur insertion dans le monde professionnel. Si vous êtes passionné par le design et l’architecture d’intérieur et que vous souhaitez en faire votre métier, n’attendez plus, rejoignez-nous !  

Qu'est-ce que la signalétique digitale ?

Parfois appelée « affichage dynamique », la signalétique digitale tire son nom de l’expression anglaise « digital signage ». C’est un outil de communication devenu omniprésent sur la toile et qui offre de considérablement développer la visibilité en ligne de son message. Qu’est-ce donc que la signalétique digitale et comment s’y former ? 

 signaletique digitale

 

La signalétique digitale : mettre en avant son message 

La signalétique digitale permet de démarquer son message en ligne des autres acteurs du web. En pratique, les outils de l’affichage dynamique consistent en des dispositifs de communication visibles sur un écran. Les mouvements, l’aspect et la forme du message et de la signalétique digitale sont pilotés par des logiciels. 

 

Par définition, la signalétique digitale est un outil de communication numérique visant à afficher un contenu multimédia sur un écran. Le message est plus attractif en raison de son mouvement et peut être modifié en fonction de l’utilisateur. 

 

Dans le milieu marketing, la signalétique digitale revêt de nombreux enjeux et il s’agit même d’un modèle de publicité : les DOOH (Digital Out Of Home). Ces publicités digitales, proposés hors du domicile, sont donc présentes dans tous les moments de vie des consommateurs : salles d’attente, magasins, quais du métro, etc. La signalétique digitale peut alors profiter à une communication unifiée à grande échelle en assurant une visibilité sur les bornes interactives, les systèmes d’affichage des banques, en proposant des achats digitaux dans le point de vente, etc.

 

 

Typologie de la signalétique digitale 

On considère qu’il existe actuellement trois grands types de signalétique digitale?: chaque catégorie varie en fonction de la position adoptée et attendue du public. Le message s’adapte de ce fait selon que la personne est considérée en situation d’achat, d’attente ou de transit. 

 

  • La signalétique digitale POS (point of sale). C’est un affichage dynamique qui se rencontre sur les points de vente et qui peut alors s’assimiler aux traditionnelles PLV. Sur l’écran, les professionnels reprennent la communication de l’enseigne, sa forme et sa charte graphique. La signalétique digitale permet alors de développer son image de marque, d’enrichir l'expérience client, d’augmenter le trafic en magasin ou développer les ventes.
  • La signalétique digitale POT (Point of Transit). Cette signalétique digitale vise à investir les lieux de passage et touche une audience en mouvement (les passant dans une zone commerçante). Dans ce contexte, le positionnement de l’écran joue un rôle essentiel pour capter l’attention des passants. Il faut également développer un message court et percutant. On conseille de se positionner dans les lieux de passage et d’exploiter cette forme de la signalétique digitale pour sensibiliser, guider et enrichir son image de marque.
  • La signalétique digitale POW (Point of Wait). Il s’agit des écrans présents dans les espaces d’attente. Leur objectif est de réduire le sentiment d’attente en proposant un contenu divertissant. Les experts considèrent que la signalétique digitale POW sous forme de messages publicitaires est, dans ce contexte, contre-productif. Les contenus informatifs, quant à eux, bénéficient de l’attention du public et permettent d'entretenir la relation avec son audience.

 

Enjeux et avantages de la signalétique digitale 

En tant qu’outil marketing et de communication, la signalétique digitale revêt des enjeux colossaux pour les entreprises désireuses d’adopter une stratégie digitale performante.  Véritable outil de vente, la signalétique digitale offre de développer son chiffre d’affaires par le biais d’une stratégie dynamique, ludique et innovante?: 

  • Elle capte l'attention du public. 
  • Elle améliore la visibilité et l’image de marque. 
  • Elle génère du trafic et améliore l’expérience client. 
  • Elle déclenche les achats impulsifs, crée une émotion et instaure une identité visuelle forte. 

 

En tant qu’outil de communication, la signalétique digitale permet de créer une ambiance d’accueil au profit du visiteur. 

  • Elle fait patienter agréablement. 
  • Elle fluidifie le trafic des visiteurs. 
  • Elle diffuse une signalétique et des informations en temps réel. 
  • Elle crée un climat de confiance. 
  • Elle présente les événements. 

 

Tous ces atouts de la signalétique digitale font de cet outil un enjeu crucial pour les entreprises, qui cherchent à élaborer des messages dynamiques en phase avec leur image de marque. Avec la signalétique digitale, les contenus sont constamment à jour. En défilant, les images et les contenus visuels s’émancipent des limites des pages de l’affichage print. On peut alors élaborer une communication véritablement unique, personnalisée et adaptée à chaque internaute.

 

 

Comment se mettre à la signalétique digitale ? 

Des plateformes en ligne proposent des générateurs d’affichage dynamique qui présentent l’avantage de la facilité. Sur des plateformes très intuitives, l’utilisateur peut créer lui-même son message en important ses fichiers et en modulant la forme dans de grands templates. 

 

Néanmoins, ces propositions sont limitées (en espace d’expression et en fonctionnalités). C’est pour cette raison qu’il est préférable de confier l’élaboration de sa signalétique digitale à un designer graphique et numérique ou à une agence de communication. Grâce aux professionnels qui y exercent, les clients élaborent des plannings pertinents de diffusion et sont guidés dans la création graphique de leur message. Par ailleurs, ces experts disposent de compétences en programmation et création de sites web, ils assurent donc un service complet offrant de créer une signalétique digitale dynamique et agréable. 

 

Par exemple, les professionnels de la signalétique digitale travaillent sur des logiciels spécifiques, dont Adobe Experience Manager Screen. Les fonctionnalités du logiciel permettent de créer une signalétique digitale unique, originale et véritablement en cohérente avec la communication visuelle des entreprises.

 

Par ailleurs, les professionnels formés à la signalétique digitale connaissent les critères techniques à respecter. Ils peuvent créer des messages sous la forme du média le mieux adapté?: films, diaporamas, animations, etc. Ils savent aussi travailler sur les systèmes hébergés, les SaaS ou les systèmes hybrides. Par ailleurs, il faut être attentif aux erreurs de programmation de sa signalétique digitale et créer des playlists structurées et fluides.

 

 

L’EFET Studio Créa propose un parcours complet en Design Graphique et Numérique qui permet aux étudiants d’apprendre à modéliser des éléments d’une bonne signalétique digitale. Consciente des besoins des étudiants et des attentes des recruteurs du secteur, l’école propose de suivre la formation selon le rythme de l'alternance. 

 

La signalétique digitale a un brillant avenir devant elle. Grâce au développement des algorithmes et du Machine Learning, les systèmes de signalétique digitale sont désormais capables d'afficher un message pleinement adapté à l’utilisateur : sexe, âge, préférences, etc. 

Soirée fictive organisée par les étudiants de l’EFET STUDIO CRÉA Aix-en-Provence

Des étudiants en 3ème année de Bachelor Design Graphique & Numérique créent une soirée fictive sur le campus Eductive Aix-en-Provence. Le projet consistait à concevoir une scénographie complète, ainsi qu'une identité visuelle et musicale, un concept original, un naming et des animations pour cette soirée imaginaire. 

 soirée fictive

 

Les étudiants ont travaillé en groupe et ont pris en compte tous les aspects de l'organisation d'un événement de ce type. Ils ont commencé par définir le concept global de la soirée, qui devait être innovant et attractif pour les étudiants. Ils ont ensuite créé l'identité visuelle de l'événement, en choisissant les couleurs, les typographies et les éléments graphiques les plus adaptés pour communiquer sur l'événement. Les groupes ont également travaillé sur l'identité musicale de la soirée, en choisissant une playlist originale et adaptée à l'ambiance recherchée. 

 

Une fois que l'identité visuelle et musicale était définie, les étudiants ont travaillé sur la scénographie de la soirée, en créant un environnement propice à l'ambiance souhaitée. Les groupes ont proposé différentes idées pour la décoration, les éclairages, les animations et les activités pour les invités. 

 

Enfin, les étudiants ont réfléchi au naming de la soirée, en trouvant un nom original et évocateur pour l'événement. Ils ont également conçu des supports de communication tels que des affiches et des flyers pour faire la promotion de la soirée. 

Quels sont les différents effets spéciaux pour photos ?

La photo a toujours été liée aux effets spéciaux. Dès ses débuts, les photographes se sont essayés à de nombreuses techniques pour obtenir des effets : le mouvement surréaliste en photographie, notamment, parvient avec des techniques classiques et mécaniques à montrer l’invisible au spectateur.

 

On utilise alors un rayogramme, la surimpression ou la double exposition. Quels sont alors les effets spéciaux des photographies d’aujourd’hui et quels sont les outils numériques à maîtriser pour les créer ? 

© Pexels

 

Effets spéciaux pour photo : zoom sur Lightroom et Photoshop 

Leader du marché de la retouche photo Lightroom d’Adobe offre un panel de fonctionnalités très complet qui s’adresse aux professionnels autant qu’aux particuliers. Grâce à quelques principes de base, on peut facilement obtenir d’excellentes images. Quant à une utilisation experte de Lightroom, elle permet de créer des effets spéciaux pour un rendu unique. 

 

Dans Lightroom, il est possible d’apposer tous les effets spéciaux sur sa photo d’origine. On y travaille la lumière, ajuste les contrastes ou modifie les éclairages. Il est aussi possible de donner du relief à la photographie, en jouant sur la balance des couleurs. Par ailleurs, l’outil de retouche sélective permet de supprimer des éléments indésirables de la photographie. 

 

Lightroom, ainsi que la plupart des logiciels professionnels d’effets spéciaux pour photo, fonctionne sur le principe des filtres. Le logiciel s’articule également autour de modules, chacun consacré à une partie du workflow du photographe. Dans l’outil bibliothèque, on peut aussi importer, organiser et sélectionner des visuels. Le module développement offre des effets spéciaux complets : ajustement des tonalités, traitement créatif. 

 

Créer et incorporer des effets spéciaux sur ses photos est tout à fait possible via Lightroom, toutefois les professionnels travaillent en parallèle sur l’outil Photoshop en vue d’élaborer des éléments à apposer sur leurs visuels. Dans l’outil Photoshop, les photographes et les graphistes travaillent sur le principe des claques. Il s’agit d’empiler des couches les unes sur les autres qui, chacune, comprennent un élément retouché ou ajouté. Cela permet de ne pas dégrader la photographie d’origine. 

 

Dans Photoshop, on peut supprimer et remplacer l'arrière-plan et il est aussi possible de créer des éléments graphiques (logo, icônes, etc) et de les intégrer dans ses visuels. C’est le panneau Effets de Photoshop qui permet d’appliquer des effets spéciaux aux photos (sous la barre des modes Rapide et Expert). Le panneau contient des vignettes représentant des illustrations ou des effets préformés. Les effets spéciaux sous Photoshop sont divisés en deux catégories : Artistiques et Classiques. 

 

On peut aussi choisir des effets via le panneau Graphiques et ajouter des éléments d’amélioration de l'image : diagrammes, changement d’arrière-plan, textes et formes, par exemple. L'ajout de cadre s’effectue via le même panneau. On considère que les effets spéciaux de Photoshop sont : 

 

– Les effets de cadre : ils appliquent un contour dans un calque sélectionné. 

– Les effets d’image : ils permettent dans un calque de copie d’appliquer des effets type Blizzard, Néon, Pastel, Mise au point floue, etc. 

– Les effets de texture : opacité, effets rugueux, etc. 

 

 

Smartphones et effets spéciaux pour photo : quid des applis ? 

Les téléphones d’aujourd’hui sont dotés d’excellentes caméras, capables de produire des clichés de niveau professionnel. Certains photographes travaillent d’ailleurs exclusivement sur smartphone et livrent des productions de très haut niveau. 

 

De nombreuses applications photo se sont également développées, Instagram en tête et Snapchat. Les produits sur le marché comportent désormais quasiment tous une ou plusieurs fonctionnalités de retouche et d’effets spéciaux à apposer sur sa photo directement depuis son appareil mobile. 

 

Snapchat propose des masques animaux, que l’on sélectionne dans l’application et que l’on applique sur le visage des personnes photographiées. Dans la même veine, Photo Lab (Android et IOS) propose des morphings d’excellence. À l’aide de filtres on peut combiner des arrière-plans, modifier le visage d’un modèle et le fondre avec l’illustration d’un animal ou d’un végétal, etc. Les effets spéciaux de l'application photo comprennent par ailleurs des propositions de style pop art ou graffiti. 

 

Il en va de même d’Instagram et de ses fameux filtres, très régulièrement mis à jour. D’autres applications, comme RollWorld (IOS) transforme automatiquement les photographies de paysages en panoramas. Les filtres de Fabby offrent de créer un décor d’arrière-plan unique et original.   

 

L’application photo PicsArt regorge d’effets spéciaux photo à appliquer via le concept du filtre avec un répertoire complet d’effets spéciaux. On peut tout régler individuellement sur l’app : teinte de couleur, intensité, formes, etc. 

 

Effets spéciaux sur les photos : comment apprendre les techniques des pros ? 

Pour maîtriser les logiciels permettant de créer et d'incorporer des effets spéciaux à ses photos, il faut suivre des formations universitaires et professionnalisantes spécialisées. 

 

Il est possible d’opter pour un cursus en design graphique et numérique ou en photographie. La filière du design graphique et numérique offre de maîtriser tous les outils du marché de la retouche photographique, de la création numérique et des effets spéciaux. 

 

Avec un bon cursus spécialisé, les étudiants apprennent à maîtriser l’intégralité de la suite Adobe : Lightroom, Photoshop, mais aussi  ou Illustrator. Ces autres outils permettent de véritablement maîtriser les principes et les solutions des effets spéciaux, de la conception d'images de synthèse et de la création numérique. On peut alors concevoir des effets spéciaux de très haut niveau et s’en servir sur des projets photo. 

 

Pour s’assurer de suivre une formation de bon niveau, il est important d’opter pour un cursus qui s'articule autour de deux cycles professionnalisants : le Bachelor et le Mastère. Ces diplômes sont caractérisés par leur pédagogie pratique et leur haut niveau académique. En suivant un parcours complet (et idéalement selon le rythme de l’alternance), on peut tout apprendre des effets spéciaux et de la retouche photo. 

 

 

L’EFET Studio Créa offre à ses étudiants en Design Graphique et numérique de se former à l’utilisation des logiciels d’effets spéciaux pour les photos dès leur première année de Bachelor. Grâce à l'alternance, ils développent leur créativité et leur maîtrise des solutions professionnelles et imaginent les meilleurs effets spéciaux à appliquer sur les photos. 

 

Les effets spéciaux sont partout et la photographie est un champ large et riche d’expérimentation. 

Un workshop mêlant street art parisien et réalité augmentée

La semaine du 17 avril, l’EFET STUDIO CRÉA a organisé un workshop pour ses étudiants de 3ème année en Design Graphique et Numérique. « Au-delà des Murs : Explorer le Street Art Parisien en Réalité Augmentée » est un atelier réalisé en collaboration avec l’association Le M.U.R.

graffitis

 

 

Le M.U.R x EFET STUDIO CRÉA

Fondée en 2003, Le M.U.R est une association engagée dans la promotion de l’art urbain. Située au cœur du XIe arrondissement, le M.U.R a mis en place le mur Oberkampf exposant des œuvres très diverses tout au long de l’année. Toutes les techniques, tous les modes d’intervention sont accueillis : graffiti, street art, détournements, installations in situ, les contributions sont libres et multiples. L’association Le M.U.R contribue à l’histoire de l’art urbain en diffusant les œuvres créées successivement sur le Mur Oberkampf ainsi que sur tous les autres MUR créés à travers la France et l’Europe.

 

Le workshop consistait à créer une balade virtuelle immersive, sur un brief de l’association, à travers le street art parisien en accompagnant les graffitis d’éléments animés. Les étudiants pouvaient utiliser les logiciels Adobe After Effects et Adobe Pro. Ils devaient d’abord effectuer des recherches sur le street art parisien, et cibler les éléments qui feraient partie de leurs travaux finaux.

 

Ensuite, une fois les peintures murales photographiées, ils pouvaient s’attaquer à la création d’animations sur After Effects. Enfin, ils devaient utiliser Adobe Aero afin d’intégrer leurs animations dans un environnement de réalité augmentée. À la fin de la semaine, ces derniers devaient rendre une vidéo présentant les différents moments de la balade en réalité augmentée.

 

 

Un workshop qui sort du cadre

Thibaut Brunet, artiste plasticien, était chargé d’animer et encadrer ce workshop. Il constate que les étudiants se sont engagés dans deux types de travaux différents : « […] Il y a quelques approches différentes dans le travail : il y a les étudiants qui travaillent plus au service de l’œuvre qui est sur le mur, ils donnent leur créativité à la visite. Et puis, il y a des étudiants qui eux ont envie d’amener leur personnalité dans les fresques murales et à ce moment, ils amènent autre chose, du dessin et leur sensibilité. ».

 

Audrey Sanson, une des étudiantes participantes, explique que ce qu’elle apprécie dans le workshop, c’est de pouvoir raconter une histoire à travers des graffitis qui passe d’habitude inaperçus. Elle a entrepris un projet très original avec sa camarade : « On a voulu mettre en avant le portrait des femmes qu’on croisait dans les ruelles et leur donner une certaine force, une certaine puissance en jouant sur les pupilles. Elles se mettent à nous fixer, d’où le nom de l’œuvre « I see you too » : Je te vois aussi. L’idée est d’avoir cet échange de regard, à travers lequel il se passe quelque chose de concret et de vraiment intense. ».

 

Ce workshop, était l’occasion pour les étudiants d’avoir une approche créative et assez amusante de la réalité augmentée et ses outils. Travailler aux côtés d’un artiste plasticien professionnel, leur a certainement permis d’acquérir de nouvelles compétences techniques.

 

 

L’EFET STUDIO CRÉA collabore régulièrement avec des experts pour permettre aux étudiants de bénéficier d’un mode d’apprentissage le plus complet possible. Ainsi, l’école les prépare au mieux à la réalité du monde professionnel, qui les attend une fois diplômés.

Utiliser Photoshop : principe de base et formations

Photoshop, c’est le logiciel de la création et de la retouche numérique graphique. Les fonctionnalités de l’outil sont très nombreuses et offrent de presque tout faire. Pour utiliser Photoshop à un niveau avancé, il est indispensable de suivre une formation. Retour sur le fonctionnement de base de Photoshop et sur les solutions pour apprendre à bien l'utiliser. 

© Pexels

 

 

Principes de base pour utiliser Photoshop 

Adobe propose en ligne des tutoriels écrits et vidéo avec de nombreux fichiers téléchargeables pour prendre en main et découvrir Photoshop. Attention, ils ne sauraient remplacer des formations professionnelles, indispensables pour bien utiliser l'outil, mais permettent de se familiariser avec Photoshop. 

 

Les outils de base de Photoshop permettent d’intervenir sur des images pour faire de la retouche numérique et d’obtenir des premiers rendus intéressants. 

 

Pour utiliser Photoshop, il faut invariablement ouvrir une image dans le logiciel (Fichier > Ouvrir> Sélection du fichier). Pour créer une image, on choisit dans la barre de menus Fichier > Nouveau. Il faut alors sélectionner les paramètres de document prédéfinis ou indiquer des valeurs personnalisées. 

 

Utiliser Photoshop, c’est bien se repérer dans l’espace de travail, qui est composé de : 

 

– La barre de menus (la partie supérieure). Elle-même se compose des entrées Fichier, Édition et Image, permettant de sélectionner les réglages, les commandes ou de faire apparaître les panneaux. 

 

– La barre d’options, sous la barre des menus. Elle offre de faire varier les options de l’outil qui a été sélectionné. 

 

– À gauche, le panneau Outils, permettant de retoucher les images ou de créer des illustrations. 

 

– Le panneau de droite, crucial pour utiliser Photoshop, car il comprend les couleurs, les calques et propriétés fondamentales de la manipulation des images. 

 

Dans Photoshop, il est également possible de zoomer et de naviguer dans l’image agrandie avec l’outil Main. Toute commande peut être annulée, notamment grâce au raccourci Cmd+ Z (Sur Mac OS). Sachez que la maîtrise des raccourcis sur Photoshop est une solution pour exploiter le logiciel plus rapidement et que les professionnels connaissent par cœur les manipulations clavier du logiciel. 

 

Utiliser les calques dans Photoshop 

Les calques sont un concept et un outil de base de Photoshop. Il s’agit d’un ensemble de couches virtuelles à empiler sur le visuel de base. Chaque couche contient un élément qui constitue l’ensemble final. Ainsi, dans Photoshop, on travaille une partie de son visuel sur un calque, le résultat final correspond à la superposition de tous les calques. 

 

Un calque de Photoshop permet de nombreuses retouches sur une partie de l’image, sans intervenir sur l'intégralité de la photographie originale. Le document d’origine n’est donc affecté qu’en partie et il n’est pas détruit par la retouche). On peut supprimer un calque (et ses éléments retouchés) pour retrouver le visuel de base. 

 

Pour utiliser un calque dans Photoshop, il faut tout d’abord ouvrir un visuel dans l’espace de travail. Par défaut, l’image importée comprend un claque d’arrière-plan qui est automatiquement verrouillé (c’est la base de la superposition des couches). 

 

On peut ensuite commencer son empilement de couches en ajoutant un nouveau calque transparent et vierge en cliquant sur « Créer un calque » dans le panneau Calques. Attention, il est vivement préconisé de bien nommer chaque couche de calques en vue de ne pas se perdre dans ses retouches. Pour bien utiliser les calques de Photoshop, il faut travailler dans l'onglet Calques, situé en bas à droite de l’espace de travail (ou Fenêtre puis Calques). 

 

Il est aussi possible d’ajouter un nouveau calque en convertissant des sélections en calques. On sélectionne une portion de l’image de base et on copie-colle cette sélection sur l’image. Photoshop génère automatiquement un calque qui comprend la partie copiée. 

 

Pour utiliser les calques de Photoshop, il faut apprendre à les manipuler en fonction de ses objectifs de création ou de retouche numérique. Par exemple, le logiciel offre de très nombreuses fonctionnalisés, comme le masque de calque (qui s’active en cliquant sur l'icône œil dans le panneau calques). En masquant un calque on peut alors mieux se rendre compte de la qualité de sa retouche ou travailler sur une autre partie du visuel. 

 

Il existe également des calques de réglages, qui permettent de modifier les paramètres d’une image : contraste, couleurs, tons, etc. En utilisant un calque pour procéder à ces modifications, on ne détruit pas le visuel d’origine et il est à tout moment possible de restaurer l’image de base. 

 

Enfin, sachez qu’il est possible de redimensionner un calque de Photoshop en cochant l’option de transformation. Des points apparaissent alors sur le calque, qu’il suffit de faire bouger sur l'écran pour obtenir la taille désirée (il faut valider pour que la transformation soit enregistrée par Photoshop). On peut aussi conserver la forme et les proportions de l’image en cochant la case Conserver les proportions ou en utilisant le raccourci Shift au moment de la re-dimension du calque. 

 

Utiliser Photoshop : bien se former 

 Photoshop est un logiciel qui fait partie de la fameuse suite Adobe. Payante, la licence s’adresse aux professionnels du design graphique et numérique.   

 

S’il est possible de suivre des formations dédiées à l’utilisation de Photoshop, il est conseillé aux étudiants désireux de faire carrière dans les arts graphiques de choisir un cursus qui comprend l’apprentissage de Photoshop. En effet, la découverte du logiciel puis sa pleine maîtrise requièrent plusieurs années d'expérience et une utilisation sur le terrain.

 

Utiliser Photoshop dans le cadre d’études en Design est un apprentissage plus performant. Les modules d’utilisation de l’outil sont mis en cohérence avec d’autres fondements de la communication visuelle : principes de l’identité visuelle, mise en page, marketing en ligne, fondements de la communication, etc. 

 

Apprendre à utiliser Photoshop dans le cadre d’une formation en graphisme numérique permet également de découvrir toutes les approches qu’offre le logiciel : design de packaging, affichage print, retouche numérique ou créations d'infographies. 

 

Il faut privilégier un apprentissage pratique, composé de séminaires professionnels ou de projets concrets et un cursus qui se déroule sur 3 à 5 ans. L’EFET Studio Créa propose un parcours complet en Design Graphique et Numérique. Chaque année du cursus comprend des UE et des modules pratiques pour apprendre à utiliser Photoshop et, grâce à l’alternance, les étudiants découvrent toutes les fonctionnalités directement sur le terrain. 

 

Les professionnels qui savent véritablement utiliser Photoshop effectuent en parallèle de leur travail une veille des évolutions et des mises à jour du logiciel. 

Workshop Éco packaging à l’EFET STUDIO CRÉA

Un workshop sur le thème de l’éco packaging a eu lieu à l’EFET STUDIO CRÉA la semaine du 29 mai au 02 juin. Cet atelier était destiné aux étudiants de Master 1 Design Graphique & Numérique.  

 

Généralités et consignes du workshop 

Il va de soi que réaliser un packaging aujourd’hui nécessite avant tout de prendre en compteles critères liés à l’écologie. Si l’industrie du luxe se démarque clairement dans l’originalité de ses conceptions en termes d’emballages, nous constatons que les créations sont bien moins abouties dans certains secteurs, dont les magasins bio avec l’achat en vrac. 

 

C’était donc le point de départ du travail des étudiants. Devant concevoir un éco packaging qui répond à certains critères, ces derniers ont doncintégrer dans leur travail quelques contraintes?:  

 

Ils devaient réaliser l’identité graphique pour les sachets d’une marque de produit bio en vrac (marque inventée, ou marque existante, au choix). Le sachet en question devait être réutilisable et proposer une expérience inédite post-achat.  

 

Ils avaient pour mission deplacer l’éco conception au cœur de leurs démarches?: la durée de vie du sachet doit être optimisée. Le graphisme devait être éco conçu, c’est-à-dire qu’il fallait limiter la colorimétrie.Il fallait donc choisir les informations les plus pertinentes à placer sur le paquet, afin de ne pas le surcharger et d’en faire un sachet à usage unique, limitant ainsi la consommation d’encre. Il était également important de supprimer les images inutiles et de réduire la taille du texte tout en conservant une bonne visibilité. Enfin, les étudiants devaient utiliser le label imprim’vert et pouvaient utiliser un procédé d’impression classique.  

 

Les élèves avaient 5 jours pour concevoir leurs moodboards, planches de recherche, planches de présentation et maquette de principe. Ils avaient également un dossier numérique de 15 slides à préparer. Ce travail était à faire en autonomie, supervisé par leur intervenant qui était là tout au long de la semaine pour leur prodiguer des conseils.  

 

 

Retour d’expérience des étudiants et intervenant 

 

Ce workshop était le moyen pour les étudiants de laisser parler leur imagination et de mettre en avant leuringéniosité dans un délai assez court 

 

Amélie Paillet, une des étudiantes ayant participer à ce workshop a réalisé un projet tournévers l’alimentaire comme la plupart de ses camarades?: «?J’ai voulu créer des packs dans lesquels on peut acheter ses fruits et légumes à noyaux et ensuite les faire pousser chez soi, directement dans le sac dans lequel ils ont été achetés?».  

 

Lila Lorenzin, une autre étudiante, s’est, elle,tournée vers la marque Playmobil?: elle a inven un concept où il serait possible d’acheter les figurines Playmobil en vrac.Il faudrait faire des découpes sur le sachet pour en faire des portes et des fenêtres et ensuite le réutiliserpour la construction de bâtiments. Pour elle, ce type de workshop est vraiment intéressant pour elle : «?On est souvent en groupe pour les projets,mais parfois, on a l’opportunité d’être tout seul. C’est vrai que c’est bien d’avoir ces deux aspects là parce que c’est important de savoir travailler en groupe pour savoir mêler les différentes envies des autres et de ne pas avoir la contrainte de tout le temps être tout seul. Mais c’est vrai que c’est sympa aussi de quelques fois être seul parce qu’on peut vraiment faire ce qu’on veut à 100%. C’est bien d’avoir ces deux aspects là dans l’école.?». 

 

Stéphane Genier, designer indépendant, était chargé d’animer et encadrer ce workshopSon bu tà travers cette semaine, était de faire comprendre aux étudiants qu’il est préférable d’allonger la durée de vie d’un packaging,en le réutilisant, que de vouloir le recycler systématiquement. Il souhaitait donc amener les étudiants à réfléchir à des emballages qu’on peut réutiliser à plusieurs reprises après achat.  

Pour l’intervenant, il est plus que pertinent pour les étudiants de participer à ce projet?:«?Le gros intérêt, c’est de les mettre en situation sur une durée relativement courte comme ils travailleraient en agence ou face à un client, avec tout ce que ça a à prendre en compte comme pression, comme rush?: trouver des idées rapidement, les tester, voir si elles fonctionnent, revenir dessus, être créatif.?». Selon lui, en raison de la durée de temps limitée qu’ils ont à leur disposition, les étudiants participants doivent être réactifs tout en?mettant en valeur leur créativité.  

 

Le workshop Eco packaging, était un réel défi pour les étudiants en M1 DGN. Être aux côtés d’un designer professionnel tel que Stéphane Genier, les aaidés à comprendre les différents enjeux de cette thématique et de fournir un travail innovant et de qualité. 

 

 

À l’EFET STUDIO CRÉA, les workshops et séminaires viennent fréquemment ponctuer les cours magistraux. C’est le meilleur moyen pour les étudiants de mettre en applicationles notions théoriques qu’ils apprennent durant leur formation et de se confronter à une réalité plus concrète.  

 

Si vous aussi vous êtes passionnés par le monde du design graphique et numérique ou encore de l’architecture intérieur, n’hésitez plus, candidatez et rejoignez-nous?!  

 

 

Comment s'améliorer en design graphique ?

Le design graphique est désormais considéré comme l’outil incontournable de la communication visuelle. Il permet de créer de toute pièce des images permettant de mettre en valeur un propos, créer le packaging de produit ou encore faire la promotion d’un événement. Véritable discipline des arts appliqués, le design graphique est un domaine très concret : comment s’améliorer ?

 

© Pexels

Connaître l’environnement technique et s’améliorer en design graphique 

 

Le design graphique est une discipline des arts appliqués intimement lié à ses outils de production : les outils et les logiciels numériques de création visuelle. Pour parvenir à faire des propositions créatives en design graphique, la maîtrise des instruments comme Illustrator, Photoshop ou encore InDesign est indispensable. 

 

Ainsi, pour un étudiant ou un designer qui souhaite s’améliorer en design graphique, il est important d’effectuer une veille concrète et assidue de son secteur. En surveillant l'actualité et en prenant connaissance des dernières propositions logicielles sur le marché, les designers graphiques peuvent ainsi constamment tenir à jour leurs compétences. En effet, pour s’améliorer en design graphique, il faut savoir utiliser les dernières fonctionnalités rendues possibles par l’innovation technologique. 

 

Par exemple, un bon design graphique d'aujourd'hui peut être conçu selon les techniques du Flat Design ou de la 3D. Un designer qui souhaite s’améliorer et maîtriser ces tendances a donc besoin de connaître les logiciels et les manipulations techniques lui permettant de créer un visuel en 3D. Il doit également parfaire ses compétences afin de maîtriser les principes du Flat Design (perspective tronquée, point de vue unique, etc.). 

 

S’améliorer en Design Graphique : essayer, recommencer et travailler 

 

Le design graphique s’apprend au contact des professionnels du secteur. Pour s’améliorer, il est donc important de baigner dans l’univers de la conception visuelle, en fréquentant un certain milieu, en multipliant les vernissages ou les expositions et en observant le monde qui nous entoure (et les propositions publicitaires). 

 

S’améliorer en design, c’est également expérimenter et, pour ce faire, l'idéal est de constituer un groupe de graphisme éclectique et qui fourmille d’idées de conception. Rejoindre une communauté de graphistes actifs (ou même un collectif) est tout à fait envisageable en se rapprochant des participants à sa formation universitaire ou en utilisant à bon escient les réseaux sociaux. 

 

Consulter des blogs de conception graphique et se construire une bibliothèque spécialisée composée de livres techniques sur le sujet est également une excellente manière de s’améliorer. En étudiant les tendances et les mouvements du design graphique au fil du temps, il est plus aisé de trouver l’inspiration. N’oublions pas que c’est en copiant que l’on trouve son propre style. 

 

Pour véritablement s’améliorer en design graphique, il n’y a pas de secret : il faut s’entraîner et participer à un maximum de projets afin de diversifier les sujets, les consignes et les objectifs. Les enseignants de l’EFET STUDIO CRÉA le savent et encouragent leurs étudiants à produire à l’occasion d’ateliers pédagogiques pratiques tout au long de leur cursus de Bachelor et de Mastère Design Graphique. Grâce à l’apprentissage en alternance, les participants complètent leur formation en apprenant directement au contact des experts et en situation professionnelle, ce qui consiste en une autre excellente occasion de s’améliorer en design graphique. 

 

 

S'améliorer en design graphique, c’est un processus qui dure tout au long de sa vie professionnelle : les designers en exercice cherchent constamment à relever de nouveaux défis et à expérimenter de nouvelles solutions.